Cette décision s’inscrit en cela dans un mouvement de société, rassemblant de nombreux citoyens qui ne veulent plus cautionner :
- L’indulgence à l’endroit des discours sexistes, haineux, malveillants, climatosceptiques, et injurieux à l’encontre des minorités ;
- La fragilisation de la modération des contenus, qui rend possible la désinformation de masse ;
- Un modèle économique qui prospère sur la monétisation d’informations, pourvu qu’elles soient fausses.
Les publications sur les réseaux sociaux se concentreront sur Facebook, Instagram et Linkedin.